A Filetta, Fadia Tomb el Hage, Abdullah Miniawy, Peter Corser : rencontres chantées/Musiques de la Méditerranée / France, Liban, Egypte

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UGS : JS-06-11 Catégories : ,

Description

A Filetta, polyphonies corses

Jean-Claude Acquaviva, François Aragni,Jean-Do Bianco, Petr’Antò Casta, Paul Giansily, Maxime Vuillamier

Fadia Tomb el Hage, voix

Abdullah Miniawy, voix

Peter Coser, saxophone

Chants profanes ou sacrés, interprétés en corse, en arabe ou en syriaque, ils font se rejoindre l’univers d’A Filetta et
celui de Fadia Tomb el Hage, deux traditions musicales dont l’osmose résulte d’une grande écoute et d’une parfaite complémentarité entre les interprètes. Si chacun d’entre eux garde sa spécificité, ces conversations ouvrent des espaces imaginaires qui doucement se dessinent à travers les mélismes des voix et la fusion des timbres, piquées au vif par la présence du slameur égyptien Abdullah Miniawy et du saxophoniste Peter Coser. De cette rencontre nait une symbiose unique rassemblant dans un même élan tradition et modernité, répertoires corse et oriental.
La musique d’A Filetta est une traversée… On pourrait dire qu’il s’agit d’une proposition vocale polyphonique contemporaine exigeante, audacieuse, issue d’une puissante tradition orale. Une musique au service d’une vision du monde rejetant sans ambiguïté tout repli identitaire et dont la philosophie pourrait se résumer à ce bel aphorisme de René Char : « Les plus pures récoltes sont semées dans un sol qui n’existe pas ; elles éliminent la gratitude et ne doivent qu’au printemps ». Pour Fès, ils réuniront toutes ces récoltes dans un concert unique et magnifique embrassant toutes les Méditerranées.
A Filetta et Fadia Tomb el Hage D’un côté la voix captivante et feutrée de Fadia Tomb El Hage, de l’autre celles du choeur A Filetta. Chants profanes ou sacrés, interprétés en corse, en arabe ou en syriaque, font se rejoindre deux univers, deux traditions musicales dont l’osmose résulte d’une grande écoute et d’une parfaite complémentarité entre les interprètes.
Entre rock, poésie soufie, jazz, spoken word et volutes orientales, Abdullah Miniawy et Peter Coser transcendent les identités et les frontières. Empreint de spiritualité et de liberté, ce chant soufi nous porte vers la transe, nous conduit dans un voyage mystique.