Cette danse aux origines guerrières est beaucoup liée à la pratique du baroud. A Tissa, au pied des montagnes du Rif, chaque année au mois de septembre, des centaines de cavaliers viennent de toute la région démontrer la beauté sauvage de leurs étalons.
Entre monde arabe et amazigh, cette danse est aussi, dit-on, un hommage à la nature, et à l’arbuste douma (frangipanier), qui se met à tanguer lui-même lorsqu’il est secoué par la brise.